HANG KANG TAEKWONDO CLUB de Koungheul était à l’honneur dans l’émission « Ganu Keur Gui de BTV », avec les témoignages du maître Dame Bamba et le porte-parole du club Mamadou Aliou DIALLO.
Retrouver l’émission sur 👉👉 : https://youtu.be/bX_kDpiHXco?si=cRx4xNzLi1BwUfqf
Assises de la justice : Le Koungheulois Prof Ahmadou GAYE parmi les participants.
Le Rassemblement des Étudiants de Koungheul à Saint-Louis, structure légitime de représentation et de défense des intérêts matériels et moraux des étudiants koungheulois à l’université Gaston Berger de Saint-Louis, porte à la connaissance de la communauté Koungheuloise, des autorités locales et l’opinion publique de la situation alarmante et préoccupante à laquelle les étudiants Koungheulois à Saint-Louis sont confrontés actuellement.
En effet, depuis belles lurettes. l’hébergement constitue le problème majeur des universités sénégalaises qui voient leur nombre évoluer de manière très rapide alors que cette augmentation n’est point suivie par des infrastructures à usage de logement. Cette situation oblige ainsi l’amicale à faire du logement une priorité absolue. En mettant un appartement à la disposition de tous les étudiants Koungheulois qui n’ont pas encore la chance d’avoir un hébergement au sein du campus social.
Cependant, du fait de la faiblesse de notre ressource financière, l’amicale est aujourd’hui confrontée à de sérieux problèmes tels que : des arriérés de mensualités (3 mois d’arriérés), de payement de factures d’eau et electricité mais aussi d’alimentation car le nombre de nos nouveaux bacheliers est juste pléthorique, dépassant ainsi, de loin, notre capacité d’accueil…
Compte tenu de cette situation, le REKS étant une structure très responsable, a entrepris des démarches au niveau de la municipalité et du conseil départemental afin de leur exposer les problèmes auxquels les étudiants Koungheulois de l’UGB sont confrontés, prévenant ainsi tout risque d’être déloger, mais jusque-là aucune réaction, aucun retour de leur part n’a été noté, chose que nous déplorons.
Nous appelons par cette occasion, nos anciens koungheulois de l’UGB, aux bonnes volontés, et surtout aux autorités Koungheuloise à répondre par des actes de soutien à l’égard de l’Amicale, afin de sortir de cette situation calamiteuse et désastreuse.
Le Rassemblement des Étudiants de Koungheul à Saint-Louis reitère son engagement pour le mieux-être de l’étudiant koungheulois à Saint-Louis.
Le Président.
À l’occasion de la visite d’amitié du Président de la République du Sénégal, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar Faye, à Conakry, des discussions fructueuses se sont tenues avec Son Excellence Général de Corps d’Armée Mamadi Doumbouya, Président de la République de Guinée. Ces entretiens, marqués par une atmosphère d’amitié, de cordialité et de compréhension mutuelle, ont permis de passer en revue des sujets d’intérêt commun sur les plans bilatéral, sous-régional, régional et international.
Les deux chefs d’État ont exprimé leur satisfaction quant à l’excellence des relations d’amitié, de fraternité et de coopération entre la République du Sénégal et la République de Guinée. Le Président guinéen a profité de cette occasion pour féliciter de nouveau le Président sénégalais pour son élection à la magistrature suprême.
Ils ont souligné l’importance de renforcer leur coopération dans divers domaines : défense et sécurité, administration du territoire, mines, énergie, commerce, industrie, transports, infrastructures et hydrocarbures. Les deux leaders ont regretté l’absence de réunions de la Grande Commission Mixte de Coopération depuis 2008 et ont décidé d’organiser la 6ème session à Conakry en novembre 2024, demandant à leurs ministres des Affaires Étrangères de préparer cet événement.
Les deux présidents ont décidé de mettre en place un partenariat stratégique pour renforcer les relations économiques et commerciales, notamment par la réalisation de projets au sein de l’Organisation pour la Mise en Valeur du fleuve Sénégal (OMVS). Ils ont également convenu de promouvoir l’échange d’expériences et de bonnes pratiques dans des domaines tels que la recherche et l’exploration du sol et du sous-sol, la gestion minière, les transports, l’agriculture, l’industrie et la formation.
En vue de la 32ème édition de la Foire internationale de Dakar (FIDAK) en novembre 2024, le Sénégal a invité la Guinée à être parmi les pays invités d’honneur.
Les deux chefs d’État ont salué les progrès dans la délimitation de la frontière commune et ont encouragé les commissions nationales à poursuivre leurs efforts pour une matérialisation consensuelle et définitive de cette frontière. Ils ont également insisté sur le renforcement de la lutte contre l’émigration irrégulière et le trafic de migrants, appelant à une meilleure synergie d’action entre leurs gouvernements.
Concernant la sécurité sous-régionale, ils ont échangé sur la menace des groupes terroristes, la circulation illicite des armes et la criminalité transnationale. Ils ont décidé de renforcer leurs efforts en matière de sécurité par des patrouilles mixtes le long de leurs frontières.
Les présidents Faye et Doumbouya ont réaffirmé leur engagement envers le panafricanisme et l’intégration sous-régionale. Ils ont soutenu la mise en œuvre de la Vision 2050 de la CEDEAO et de l’Agenda 2063 de l’Union Africaine, encourageant les échanges commerciaux au sein de la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAf).
Les deux chefs d’État ont exprimé leurs inquiétudes face aux tensions mondiales persistantes et ont plaidé pour des résolutions pacifiques. Ils ont promis de se consulter et de se soutenir régulièrement au sein des instances régionales et internationales.
À la fin de sa visite, le Président Faye a exprimé sa gratitude pour l’accueil chaleureux reçu en Guinée et a invité le Président Doumbouya à effectuer une visite officielle et d’amitié au Sénégal. Cette invitation a été acceptée favorablement, avec une date à fixer par voie diplomatique.
Nouvelle saisie de cocaïne à Koumpentoum, Les opérations de ciblage et d’investigation sur les courants de trafics criminels opérant sur les grands corridors s’intensifient sur l’étendue du territoire douanier.
L’une des dernières opérations en date a permis aux agents de la Brigade mobile des Douanes de Koumpentoum, Subdivision de Tambacounda, Région douanière du Sud-est de réaliser une nouvelle saisie de cocaïne d’un poids total de 264 kilogrammes.
La saisie a eu lieu ce jeudi 23 Mai 2024, vers 23h 45mn, lors d’un contrôle routier portant sur un camion frigorifique immatriculé à l’étranger et en provenance d’un pays voisin. Ledit camion a fait l’objet d’un ciblage sur la base d’éléments pertinents. La drogue était dissimulée dans une cachette aménagée sous forme d’un réservoir de carburant.
Mais ce subterfuge n’a pas échappé à la vigilance des agents des Douanes. Ainsi, deux cent vingt-huit (228) plaquettes de cocaïne ont été découvertes dans le faux réservoir pour un poids total de 264 kilogrammes.
La contrevaleur de la drogue saisie est estimée à plus 21 milliards de francs CFA. Deux personnes dont un ressortissant d’un pays de la sous-région et un autre d’un pays nord-africain ont été arrêtées au cours de l’opération.
C’est la deuxième saisie de cocaïne effectuée par la Brigade mobile des Douanes de Koumpentoum sur l’axe Tambacounda-Koumpentoum en deux mois après celle du 31 mars 2024 portant sur 91,84 kg.
Les Douanes sénégalaises sont plus que jamais déterminées à combattre le trafic illicite sous toutes ses formes et restent mobilisées en vue de la sanctuarisation du territoire douanier.
La Division de la Communication et des Relations publiques.
La rédaction de xibarubambouck.com s’est entrenue avec le guide religieux Mouhamadou Dramé dit Oustaz Dramé. Il est revenu sur un soit-disant enterrement suspect qui a fait que le procureur saisi a ordonné le commissaire de Koungheul de se déplacer jusqu’au cimetière de Niassene pour y voir clair.
Interpelé sur l’interdiction d’enterrement dont le cimetière ferait l’objet, Ouztaz Dramé affirme qu’il n’a reçu aucune notification allant dans ce sens non sans demander à la mairie de procéder à sa clôture. Dans cette logique, le chef de quartier de Niassène déclare qu’il n’est pas au courant de ne pas inhumer les morts dans leur cimetière non sans préciser qu’il arrive qu’il rencontre des problèmes de transport pour les inhumer dans le cimetière de Koungheul.
Il a, par ailleurs, précisé que les cimetières en question font partie des lotissements de la commune de Fass Thiecken bien vrai qu’ils sont dans un quartier sis à Koungheul.
Il déplore le fait que l’enterrement dit suspect ne l’est pas du tout car le défunt en personne a été inhumé en suivant les procédures. Une chose à éviter parce que rien ne se fait dans la précipitation, à en croire Oustaz Mouhamadou Dramé.
Il faut rappeler au passage que le cimetière en personne ne fait pas partie de la commune de Koungheul mais plutôt de Fass Thieckene. Ainsi, en sa qualité de chef de quartier, Oustaz Dramé remercie le procureur et le commissaire Seydi de leur sens du devoir et de leur compréhension dans la mesure où ils ont été à l’écoute de tout le monde surtout de la famille éplorée.
Il a également invité le maire de la commune de Koungheul à échanger avec les chefs de quartier sur les sujets qui les interpellent directement. Oustaz Dramé estime que le cimetière de Niassène leur a été octroyé par le maire de Fass Thieckene, Mohamed DIENG.
En Voici L’intégralité du reportage 👉👉
En prélude à la Journée du Dialogue National prévue pour le 28 mai 2024 au Centre International de Conférences Abdou Diouf (CICAD) de Diamniadio, la plateforme « JUBBANTI » marque le début d’un effort concerté pour réformer et moderniser le système judiciaire. Cet événement, qui sera présidé par le Chef de l’État, se déroulera sous le thème « Réforme et Modernisation de la Justice ».
Lors de son discours d’investiture le 2 avril 2024, le président Bassirou Diomaye Diakhar Faye s’est engagé à œuvrer pour une justice indépendante et une démocratie renforcée. Il a également mis en avant l’importance d’une gouvernance vertueuse, basée sur l’éthique de la responsabilité et l’obligation de rendre compte.
Selon le magistrat Alassane Ndiaye, conseiller technique du ministre de la Justice : « Notre système politico-institutionnel et judiciaire a vécu bien des péripéties, les unes plus heureuses que les autres. »
Il a ajouté que « le moment est venu de tirer les leçons de nos réussites et de nos échecs pour une gouvernance publique plus moderne, plus républicaine et plus respectueuse des droits humains. »
Le Chef de l’État avait également déclaré : « Pour redorer le blason de la justice, lui redonner le prix qu’elle mérite et la réconcilier avec le peuple au nom duquel elle est rendue, j’entends organiser des assises regroupant les professions du métier (magistrats, avocats, huissiers, greffiers et autres auxiliaires de justice), les professeurs d’université et les citoyens pour identifier des pistes de solution aux problèmes de la justice. »
Dans son premier discours à la Nation en tant que Président, prononcé le 3 avril 2024, le Président Faye a souligné l’importance de réformer profondément le système judiciaire pour garantir son indépendance. Il a annoncé la tenue d’« assises » pour examiner les forces et faiblesses du système actuel et élaborer une feuille de route pour mettre en œuvre les solutions identifiées.
Sous l’impulsion du Président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, « JUBBANTI » a été lancé pour permettre aux citoyens de partager leurs préoccupations et opinions sur des sujets d’importance nationale. La première phase de cette plateforme est dédiée à la justice, sous le thème « SA GIS-GIS CI DOXALIINU YOON », qui signifie « Votre opinion sur la justice ».
Ousseynou Ly, ministre conseiller et porte-parole de la Présidence, a expliqué que cette initiative vise à garantir que les voix des citoyens soient entendues sur diverses questions influençant leur quotidien.
« Cet espace va recueillir des avis sur le système judiciaire, son fonctionnement, ses services et ses pratiques. L’objectif est de collecter des informations pertinentes pour améliorer les politiques et pratiques judiciaires, afin de garantir une justice plus transparente et efficace », promet M. Ly.
Un accident de la circulation s’est produit ce mercredi 22 mai 2024, à neuf (09 ) kilomètres de la RN1 sur la piste lateritique menant vers Touba Ali Mbenda, commune de lour escale. Un homme a été violement touché par un gradeur de marque Sany de l’entreprise « AREZKI »
La victime a perdu la vie après son évacuation à l’hôpital régional de Kaffrine. Nos sources indiquent que c’est aux environs de 17 heures, que l’Engin niveleuse a touché M D Diallo.
Sur la base des faits relatés par notre source, l’accident découlerait d’une erreur de manœuvre du conducteur qui effectuait des travaux sur la piste. Et suite à une fausse manoeuvre, il a malencontreusement heurté M.D DIALLO.
En effet, croyant que le passage était libre, le conducteur aurait démarré le gradeur, tentant de se frayer un passage avant de commettre l’irréparable.
Les éléments de la brigade Koungheul , avisés. se sont immédiatement rendus sur les lieux pour constat.
Le président du Conseil national de la maison des éleveurs du Sénégal a exprimé ses inquiétudes sur les spéculations foncières. Pour Ismaïla Sow, le foncier pastoral est le problème majeur de l’élevage. Dans cet entretien accordé à Bés bi, il donne quelques pistes pour préserver le secteur.
« Le problème majeur de l’élevage, c’est le foncier et cela est un frein pour le développement du secteur. On ne doit pas prendre le foncier seulement pour un moyen de se faire de l’argent. Entre Thiès et Pout, en passant par Mont Rolland, ou en allant vers Nguekhokh ou Tassette, toutes les terres ont été cédées à des hommes d’affaires et ceux qui font de l’agrobusiness. Il y a aussi les usines qui fabriquent du ciment, qui ont occupé une bonne partie de ces terres.
L’utilité du foncier doit être pour la culture ou pour la construction. Il faudrait revoir la procédure d’attribution du foncier. Et sur ce point, les nouvelles autorités doivent redoubler de vigilance, même si elles sont sur cette lancée. Les éleveurs ont souvent des difficultés pour avoir un endroit où faire paître les animaux et le manque de couloirs de pâturage, risque de plomber le secteur.
Il faut tracer des couloirs de pâturage dans les lotissements, parce que l’élevage a une importance dans l’économie du pays, au même titre que l’agriculture. Il faut aussi que l’Etat arrête les spéculateurs dont le seul souci est de vendre des terres, mettant souvent en conflit les éleveurs et les paysans ».
À la question de savoir quelles sont les solutions pour permettre aux éleveurs d’avoir accès aux terres, Ismaïla Sow répond : « La première solution, c’est que le gouvernement s’assoie avec les éleveurs et les associe à toutes prises de décision les concernant.
La seconde, c’est la mise en place d’une Commission nationale de réforme foncière en y intégrant au-delà, des experts, les éleveurs, les paysans et tous ceux qui sont directement concernés. Il faut qu’on donne à cette commission le temps nécessaire pour identifier les véritables causes du problème et revoir les codes de l’environnement, minier, forestier, des collectivités territoriales…
En réalité, ces textes ne favorisent que ceux qui les créent. Il faut également revoir la loi d’orientation sylvopastorale, car en général ils oublient la réalité du secteur de l’élevage ».
Aly SARR, frère du Président national du REMISE – Sénégal Dame NDOUR âgé de 53 ans est décédé ce mercredi 22 mai 2024, en fin de matinée à Koungheul, des suites d’une longue maladie. Le défunt était installé à Koungheul
L’enterrement est prévu ce jour à Touba Mbacké. Les condoléances seront reçues à son domicile à Koungheul au quartier Touba Koungheul.
La direction de www.xibarubambouck.com prie pour le repos de son âme et présente ses condoléances à Dame Ndour et la famille éplorée.
Que la terre de Touba soitt légère à notre chère frèrett!
Priez pour lui. Fatiha+ 11 Likhlass
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